"Maybe the best pop record of french music history. With 'Pop Satori' ('satori' is the zen word for 'nirvana') Etienne Daho has integrated the classic french wit for songs with extraordinary and danceable melodies. Sweet and sour, inteligent and fashionable, 'Pop Satori' is one of the best 80s records worldwide!"
The best French techno-pop
Rucho | Buenos Aires, Argentina | 08/26/2001
(5 out of 5 stars)
"I first knew about Etienne Daho when I heard him sing Quelq Un Qui m'Ressemble together with Sylvie Vartan and Francoise Hardy in the Sylvie Vartan's CD "Irrésistiblement Sylvie". I got inmediately interested in the song and in his voice. Since then I've bought 5 CDs by Daho. I can say he's the best to perform French techno-pop (as in this CD), his voice sounds also very nice in beautiful ballads that appear most of all in other, more recent, CDs as Paris Ailleurs or Corps et Armes. I enjoy that in all of them the songs are fully orchestrated and have fine arrangements."
Wonderful
Rucho | 04/02/1999
(5 out of 5 stars)
"Etienne Daho is the greatest singer in France.Pop Satori is the summum of the french pop of 80's"
Cela vaut-il la peine ?
Constantin Declercq | 12/02/2007
(3 out of 5 stars)
"Écouter «Pop satori» vingt ans après, est-ce vraiment une bonne idée ? Bien sûr, l'instrumentation synthétique sautillante qui rappelle furieusement Indochine (mais aussi plus généralement l'époque : on retrouve les mêmes tics sur les deux premiers albums de Whitney Houston par exemple) n'est pas le point fort de ce disque et il n'est pas sûr qu'elle passe la rampe. Les textes ne sont guère mieux. Restent les bonus ? Quelques versions longues (mais pas celle de «Tombé pour la France» ni celle d'«Épaule tattoo» de 8 minutes), quelques remixes actualisés (mais le remix de W. Orbit d'«Épaule tattoo» a été raccourci), quelques extraits de concerts, des maquettes (dites « démo » avec un accent mot qui n'est ni du français, ni de l'anglais, pour faire plus chic ?), bref, 27 titres en plus où l'on voit un traditionnel chanteur de variétés français voulant à tout prix ne pas faire variétés. Mais le rock fait trop plaqué, l'électro donne des résultats ennuyeux, il ferait mieux de ne pas chanter en anglais car son accent et sa manière française de syllaber sont de sérieux écueils... Que reste-t-il donc ? Son charme, son timbre de voix, «Duello al sole» en italien (entreprise rafraîchissante où on le voit enfin sortir de l'à-plat-ventrisme face aux Anglo-Saxons), quelques moments élégants épars. Mais en fait ce n'est pas dans cet album que Daho transcende la platitude de ses textes et le conformisme de sa musique, ce qui est dommage car «Le grand sommeil» donnait l'impression qu'il pouvait le faire."